TIFF - La belle époque de Nicolas Bedos: plongée malicieuse entre passé et présent

[vc_row][vc_column width="1/1"][vc_column_text]Après l'ovation au dernier festival de Cannes, la salle était en liesse à Toronto pour la présentation au TIFF 2019 du deuxième long métrage de Nicolas Bedos, la Belle époque. Outre un casting 5  étoiles et un scénario malin, également signé Bedos, qui nous invite entre deux éclats de rire à réfléchir sur notre rapport à notre présent hyper technologique,  le réalisateur impressionne par sa maîtrise du récit, de la direction d'acteur, et par son sens de du dialogue qui fait mouche. Jouant sur le passé en évitant le piège de la nostalgie, la Belle époque parvient à concilier le meilleur de la traduction française comique avec l'efficacité hollywoodienne. Guillaume Lorin s'entretien avec le réalisateur pour comprendre comment lui est venu l'idée du script, quelle part de lui-même il a insufflé aux personnages, mais aussi discuter influences, relation entre pop culture et cinéma d'auteur, de sa relations aux comédiens, sans oublier ses prochains projets, la direction du nouveau volet OSS 117, puis un film très personnel, encours d’écriture, sur le désir et la jalousie.

"J'aime le cinéma, passionnément, et dans tous ses registres, donc je mixe (mes influences, on peut aimer Tarantino et la Nouvelle Vague), comme un cocktail; j'adore les cocktails!

Synopsis:
Victor, sexagénaire désabusé, voit sa vie bouleversée le jour où Antoine, un brillant entrepreneur, lui propose une attraction d’un genre nouveau : mélangeant artifices théâtraux et reconstitution historique, cette entreprise propose à ses clients de replonger dans l’époque de leur choix. Victor choisit alors de revivre la semaine la plus marquante de sa vie : celle où, 40 ans plus tôt, il rencontra le grand amour...
Photo du réalisateur: JULIEN_PANIÉ [/ vc_column_text][/vc_column][/vc_row]
TIFF - La belle époque de Nicolas Bedos: plongée malicieuse entre passé et présent