TIFF - Two Pianos, entre musique classique et profonde mélancolie
Comme tous les jours du lundi au vendredi de 16h à 18h, Nathalie Salmeron vous embarque dans son émission Ça Balance à Toronto.
Et vous le savez maintenant, pour cette édition 2025 du TIFF, Nathalie Salmeron a décidé de vous emmener avec elle, grâce à sa série "Au cœur du TIFF".
En ce jeudi 11 septembre 2025, Nathalie Salmeron met un coup de projecteur sur autre film francophone : Two Pianos/Deux Pianos, d'Arnaud Desplechin
Et vous le savez maintenant, pour cette édition 2025 du TIFF, Nathalie Salmeron a décidé de vous emmener avec elle, grâce à sa série "Au cœur du TIFF".
En ce jeudi 11 septembre 2025, Nathalie Salmeron met un coup de projecteur sur autre film francophone : Two Pianos/Deux Pianos, d'Arnaud Desplechin
Dans ce film on suit Mathias Vogler, interprété par l'acteur français François Civil, un jeune pianiste de renommé international, qui après plusieurs années passées au Japon à enseigner la musique, est de retour aux bercail dans sa ville natale de Lyon.
Et si ce retour devrait le remplir de joie notamment à l'idée de retrouver sa famille, ses amis ainsi que ses partenaires de musique, il n'en est rien. Au contraire, on se rend compte que Mathias accompagne ce retour d'angoisses profondes qu'il essaye tant bien que mal de noyer dans l'alcool.
C'est pourtant sa mentor Élena, joué par Charlotte Rampling, qui lui a demandé de rentrer pour réaliser ensemble une série de concerts. En réalité, il s'agit là de ses dernières représentations avant qu'elle ne prenne sa retraite, car elle sent que sa santé se détériore et que sa mémoire surtout commence à se faire la malle.
Mais dans Two Pianos, on parle aussi d'amour, et d'amour impossible. Ces fameuses histoires qui ne se sont pas réellement terminées comme il le fallait et qui ont tendance à hanter vos nuits de solitude.
Un film qui est donc parfait pour les amateurs de musique classique certes, mais aussi pour toutes les personnes qui aiment les histoires d'amour compliquées, qui ne se finissent pas forcément bien.
Chronique : Nathalie Salmeron
Crédits Photo : TIFF
